L’union fait la force.
En réfléchissant à mes sept voies l’autre jour, j’ai été surpris de constater que je négligeais d’inscrire dans le journal de bord les nouveaux éléments en lien avec l’entrepreneuriat. Pourtant, la voie du général est de loin celle où je suis le plus prolifique. Je vais devoir trouver un juste milieu entre « attendre absolument que quelque chose de majeur et public se produise » et « vous sortir un résumé hebdomadaire de mon emploi du temps ». Voici donc un exemple très récent qui est arrivé avec ma blonde.
Au cas où vous l’ignoriez, elle est auteure et l’un de ses rêves serait d’être capable de vivre de ses romans. En passant, ces deux romans, Lucioles (1) et L’Envers de l’horreur (2), ont été réimprimé et ils sont disponibles via : moi, elle, Distribulivre (1) (2), Archambault (1) (2), Renaud-Bray (1) (2), et toutes les librairies identifiées dans l’image ci-bas.
Lucioles
Résumé :
Que feriez-vous si vous deviez grandir auprès des meurtriers de vos parents? Lucioles, c’est un roman enivrant de folie pure, d’incompréhension, de vengeance et de trahison. Plongez vers la seule petite lumière perceptible dans un monde complètement obsessionnel… une luciole. *** Éliane Boulanger-Racine fait ses débuts en griffonnant sur des coins de cahiers ou de feuilles, rêvant de devenir auteure… Jamais elle ne croyait pouvoir un jour écrire un roman et encore moins le publier! Comme quoi les rêves deviennent parfois réalité! Lucioles a été écrit il y a sept ans. Sept ans d’attente, d’essais, d’envois en maison d’édition. Lucioles, c’est aussi l’histoire de sa dépression. Les personnages étant ses symptômes, l’histoire est la souffrance qu’elle a vécue. Aujourd’hui, elle vole de ses propres ailes, libérée. Elle était, elle est et elle devient. Lucioles fut sa thérapie. Un premier roman, mais loin d’être le dernier.
L’Envers de l’horreur : une histoire, deux versions
Donc avant de continuer, allez le commander là!
Aimez aussi sa page tant qu’à être là :
Fait?… Vraiment? Bon!
Comme je disais, son rêve est de vivre de son œuvre. Son problème : comment y arriver? Il est important de mentionner ici qu’elle est aussi habile avec les chiffres et la planification organisationnelle que moi qui chante dans un karaoké (vous ne voulez jamais vivre ça). Heureusement pour elle, elle a un chum qui a non seulement un AEC en lancement d’entreprise, mais qui a activement participé à la planification et au démarrage d’une bonne quarantaine de projets d’affaires.
Après quelques semaines de recherches à analyser la faisabilité du projet, à déterminer les objectifs, à évaluer les pour et les contres des options logistiques (écriture, types de distribution, gestion d’inventaire, coûts, etc.), à calculer différents scénarios plausibles, etc., nous avons finalement trouvé un plan d’action qui permettrait d’y aller progressivement et de manière flexible. Pour l’aider davantage, j’y ai même mis sur pied quelques outils administratifs, tels qu’un petit CRM, qui l’aide déjà à gérer ses ventes et sa comptabilité.
Évidemment, je vais continuer à l’appuyer du mieux que je peux. Mais rendu là, c’est à elle de faire ses choix et de mettre des efforts sur son côté entrepreneurial. Avec ce type d’expérience, je suis convaincu que l’artiste deviendra aussi un très bon général.